Océan, “bien commun“. Mais bien commun de qui ? De l’humanité bien sûr. Magnifique pas en avant qui risque bien d’être celui vers le précipice où nous ont mené les mêmes expériences sur terre. Pourquoi ? Car notre regard anthropocentré donne une fois de plus “LA” place à l’homme, à son pouvoir transformateur sur l’Océan. A viser le bien commun de l’humanité, on risque d’en oublier que les 71% de surface de la planète bleue ne sont pas notre pré carré. Que les êtres vivants, les écosystèmes le composant, sont fragiles, et indubitablement liés à des cycles qui nous dépassent mais qui nous gardent en vie.
Bien commun de l’humanité ? Une sémantique à remplacer. A découvrir comment dans cette chronique.
D. Krupka