Paul Watson est enfin libéré, après 5 mois de détention préventive.
C’est un immense soulagement pour tous les défenseurs de l’Océan et du Vivant !
Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France, est avec lui pour sa sortie de prison et pour son retour en France. Paul Watson retrouvera sa femme et ses 2 jeunes enfants à Paris, et pourra passer les fêtes de fin d’année en famille.
Les raisons du Danemark pour le refus d’extradition :
Les 3 raisons invoquées par le ministère de la Justice danoise sont :
La détention préventive est trop longue
Les faits reprochés datent de plus de 14 ans
La nature des faits reprochés ne justifient pas la demande d’extradition.
Ces raisons permettent de sortir de cet imbroglio politique en ménageant les protagonistes de l’affaire, notamment le Japon.
Ces mêmes raisons avaient d’ailleurs été évoquées à chaque audience au tribunal de Nuuk.
Soutien mondial à Paul Watson
La 1ère pétition mis en ligne, dès le jour suivant l’arrestation, par le journaliste Hugo Clément a atteint plus de 788.000 signatures.
Les 2 autres pétitions pour la mise en liberté et pour la naturalisation française du Capitaine ont dépassé les 235.000 et 240.000 signatures.
C’est totalement inédit !
Le monde entier s’est tourné vers le Danemark pour attendre sa décision.
Des milliers de lettres sont arrivées à la prison de Nuuk pour réconforter Paul Watson.
L’intérêt du public, avec ses démonstrations inconditionnelles envers le défenseur de la Vie des océans, les dizaines de personnalités, scientifiques et artistes qui se sont prononcés pour la libération du Capitaine, ont fortement pesé sur la décision danoise selon le ministère du pays.
Et maintenant
Paul Watson reprend évidemment son combat pour les baleines. Le jour de sa libération, il confirme qu’il n’a jamais pris de vacances pour la défense de la Vie.
Il dit aussi que le vacarme autour de sa détention a permis de mettre en lumière les activités illégales du Japon pour la pêche des cétacés, et c’est un fait très positif.
Une action en justice est en cours pour contester l’inscription de Paul Watson sur la liste rouge d’Interpol.
Cette désignation est en effet non conforme à la définition même de la liste rouge, Paul Watson n’étant ni un criminel, ni un contrevenant d’aucune sorte pour y être inscrit.
La levée de cette inscription est nécessaire pour que le Capitaine ne subisse plus d’arrestation arbitraire, et puisse continuer à naviguer sur les mers du monde en défendant nos co-loca-terre marins.
Bravo Paul ! Merci… Nous, les baleines et les cachalots, allons fêter ta libération… Nous allons alerter tous nos amis de la mer pour qu’ils se réjouissent de ton retour.
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