“Le monde est labouré, coupé, déchiré, dynamité par l’homme“,
écrivait en 1951 John Steinbeck dans son livre “Dans la mer de Cortez“, le récit d’une expédition à caractère scientifique.
L’auteur américain voyait juste : surpêche, acidification des eaux, pollution, réchauffement climatique, les océans meurent à petit feu.
Que faut-il faire ? Simplement ne rien faire et laisser les espaces marins tranquilles, car leur résilience est grande pour peu qu’on n’y mette pas le nez. L’océan se débrouille très bien sans nous !
Et pour que l’être humain n’y fasse rien, il faut délimiter des zones protégées, des aires marines protégées ? Et où en sommes-nous dans ce domaine ? …
Ecoutez ce constat qui laisse pantois !
D. KRUPKA